Lutte Mixte Érotique – Quand une Femme Domine par sa force brute

Il doit être deux heures du matin. Je me trouve à deux mètres cinquante d’Henpa. J’ai presque pitié de lui, mais il a tout de même occis mon sadique de mari, après tout. Pourquoi devrais-je en avoir pitié ?

Je le réveille en lui jetant une petite pierre en pleine face. Il crie en sursautant.

En le menaçant avec l’arbalète, je lui ordonne de se déshabiller.

🟤  – Roghna, laisse-moi, je t’en supplie. Tu m’as vaincu. Je ne suis plus une menace pour toi maintenant.

🟠  – Ah, parce que maintenant que je suis à l’autre bout de l’arbalète, tu ne m’appelles plus « femme », hein ? Ou bien est-ce parce que tu as bandé pendant que je t’écrasais au sol tout à l’heure ?

🟤 – S’il te plaît, laisse-moi en vie.

🟠 – Je vais te laisser en vie, femme, lui dis-je pour le provoquer et réveiller en lui son instinct combatif car j’ai envie de mener une vraie partie de lutte mixte érotique, pas juste de le cogner sans répondant. Maintenant, déshabille-toi ou je te tire une flèche dans le coude.

Il hésite… Puis, il se dévêtit lentement.

🟠  – Plus vite, mon grand ! Tu ne veux pas fâcher maman, non ?

J’ignore ce qui me prend de lui parler comme ça ! J’espère VRAIMENT que personne ne nous entende !

Il ne lui reste plus que son sous-vêtement qu’il s’apprête à enlever.

🟠  – Garde ton caleçon. Et étends la couverture sur le sol pour nous protéger du sable.

Il s’exécute, puis me demande :

🟤 – Que veux-tu faire ? Pourquoi me demandes-tu cela ?

  – Toi et moi, nous allons lutter maintenant, juste à la force de nos corps, et…

🟤  – Mais tu sais bien que tu est plus forte que moi sans armes !

  – Ne m’interromps pas !
Je disais, toi et moi, nous allons lutter. Si je gagne, je violerais ton corps vaincu. Je te ferais mal en te violant. Je te forcerais à éponger mon sexe avec ta face. Je te baiserais brutalement. Je t’utiliserais comme objet sexuel. Et ensuite, je te tuerais pour que tu emportes ce honteux secret dans ta tombe. Si toi tu gagnes, par contre, je m’en irais loin et tu ne me reverras jamais. Je te rendrais tes armes et des vivres, et tu continueras ton chemin.

🟤 – Mais c’est malsain, cette lutte mixte. Tu as l’âge d’être ma mère. Je ne peux pas !

🟠 – Justement, c’est ça qui me plaît !

🟤  – Et si je refuse de te combattre… ?

🟠  – Tu n’as pas le choix, Henpa, m’amusais-je de lui dire avec un sourire un peu narquois, et surtout assez sadique.

Je me déshabille moi aussi maintenant. Mon torse est nu, et ma poitrine arrogante luit à la douce lueur du feu de camp, mes beaux cheveux roux bouclés tombant dessus ainsi que sur mes épaules. Je suis pieds-nus. Mes seuls vêtements sont ma culotte et un petit pagne qui laisse dépasser mes cuisses puissantes et volumineuses. C’est la première fois que Henpa me voit presque nue. Il a l’air intimidé par ma silhouette.

🟠  – Commençons.

🟤  – Attends, s’il te plaît!

🟠  – J’ai déjà trop attendu !

Je me précipite à ce moment sur Henpa qui est debout sur la couverture, et avant qu’il n’ai eu le temps de réagir, je lui assène une lourde claque dans la tempe. Il est sonné. Il titube et je le balaye avec mon tibia en appuyant ma main sur sa poitrine. Il tombe et je le rejoins au sol.

🟤  – Maintenant, mon grand, que la lutte commence !

Je bondis sur lui et j’écrase son corps avec le mien. Je dois bien peser vingt-cinq kilos de plus que lui, mais il est très fort pour son poids ! Il se débat de toute sa force. Il arrive même à me soulever en poussant sur mes épaules, mais je m’agrippe à son dos et presse mon corps contre le sien, faisant ainsi céder la résistance de ses bras.

Je suis maintenant allongé sur lui, mes deux bras sont passés sous son dos pour me serrer contre son corps. Mes jambes s’enroulent autour des siennes pour le maîtriser. Je sens qu’il a mal aux jambes. J’aime sentir sa douleur. Ma chatte aime ça. Je la frotte contre ses abdos.

Je resserre de plus en plus fort mes bras dans son dos. Je ressens ses côtes dans mon emprise. Ses deux bras sont eux aussi écrasés entre les miens.

🟠  – Alors, mon grand, tu es déjà vaincu ?

🟤  – Pitié Roghna, laisse-moi partir !

Le gamin pleure carrément. Je vois ses larmes couler le long de sa joue.

🟠 – Maman va sécher tes larmes, petit con !

Je lui lèche la face de manière rude et insolente, puis je lui crache au visage.

Il dégage l’un de ses bras et m’assène un coup de coude dans la tempe. Je suis sonnée et il en profite pour me repousser. Il lutte pour sa vie, le gamin ! Mais il n’échappera pas à mon emprise. Ce soir, c’est moi qui vais le dominer. L’excitation sexuelle me coupe encore des sensations de douleur !

Il se relève sur ses genoux. Moi aussi, je me mets à genoux et nos doigts s’entrelacent pour lutter. Je pousse mes mains avec les siennes dans l’intention de le mettre à terre. Il en fait de même. J’aime sentir nos deux forces physiques qui luttent l’une contre l’autre. Nos muscles brûlent. Nos énergies s’opposent. Ma chatte se serre et je suis encore plus excitée.

Plutôt que de continuer à le repousser, je préfère le tirer vers moi tout en relevant une jambe du sol pour lui asséner un violent coup de genou dans le ventre. Le gamin crie de douleur. J’en profite pour passer derrière lui et enrouler mon bras autour de sa gorge pour le tenir en clé de cou. Je l’étrangle avec mon bras et je suis à présent derrière-lui. Mes seins pèsent sur ses omoplates. Mon ventre touche ses reins. Ma chatte est au niveau de ses fesses, et j’ai envie de sentir mon corps se presser contre le sien, alors je tire son menton vers le haut à l’aide du creux de mon bras, et je tords son bras avec ma main libre pour l’empêcher de se retenir quand je l’écrase.

Il lutte contre moi. J’aime sentir la force de sa vie lutter contre ma force de femme. Cela me procure une grande jouissance.

Je gagne petit à petit. Tout en continuant à l’étrangler, je le plaque au sol. L’étranglement réduit peu à peu ses forces.

À présent, il est totalement allongé sur le ventre avec mon corps allongé qui pèse sur le sien. D’un bras, je l’étrangle. Je maintiens mon autre main sur sa bouche et sur son nez pour contrôler sa respiration. Je l’entends pleurer et marmonner en me suppliant, mais c’est le cadet de mes soucis.

À ce moment, mon sang n’irrigue plus correctement mon cerveau. Toute mon attention est happée par ma pulsion sexuelle, alors je frotte ma chatte contre ses fesses. Il ne cesse de se débattre, donc ses fesses sont fermement contractées. Elles gigotent et massent d’elles-mêmes mon clitoris à travers mon pagne et mon sous-vêtement.

Mon corps brûle d’excitation. Ma vulve est trempée en feu à la fois. Je presse le poids de tout mon corps sur le sien, ce qui l’empêche de respirer à pleins poumons. J’étrangle toujours son cou avec mon bras et je contrôle toujours sa respiration avec ma main libre. Il essaie de lutter contre ma prise mais avec son ventre enfoncé dans le sol et une respiration limitée, ses mains n’ont plus assez de force pour dégager les miennes.

Nous restons dix longues et interminables minutes (pour lui) dans cette position, jusqu’à ce que j’atteigne mon climax. Je sens que je peux jouir si je continue ainsi, alors je me masturbe plus vite et plus fort en frottant ma chatte d’avant en arrière contre ses fesses. Henpa sent mon corps vif se faire plaisir en utilisant le sien.

🟠  – Continue de lutter, petit con. Je veux sentir tes fesses bouger contre ma chatte, sinon, je te ferais très mal.

Il s’exécute, le petit soumis.

Je frotte ma chatte de plus en plus dur et fort contre lui. La puissance de l’orgasme que mon corps libère me pousse à tout oublier. J’en oublie sa douleur. Des vagues de plaisir envahissent mon corps qui tremble, se détend puis se contracte ! J’étrangle plus fort son cou et j’oublie même de libérer sa bouche de ma main pour le laisser respirer !

Je jouis de toute mes forces !

Je n’ai jamais connu un orgasme aussi puissant et satisfaisant de toute ma vie de femme !

Quand je reprends mes esprits, il est au bord de l’évanouissement.

Je relâche le pauvre guerrier meurtri dans sa fierté d’homme et je le retourne sur le dos, puis je l’aide à se remettre debout.

Il pleure.

Il a honte d’avoir pleuré.

🟠 – Maintenant, bas-toi, guerrier ! Lui lance-je.

🟤  – Je ne peux plus, Roghna. Je suis épuisé.

🟠  – Alors bois de l’eau, puis bats-toi pour ta vie.

Il se dirige vers sa gourde, puis boit une rasade, le corps tremblant après l’effort qu’il vient de subir. Ses jambes le portent à peine.

Et devinez ce que je remarque dans son caleçon ? Une érection phénoménale ! Il bande de toutes ses forces ! Et dire que j’étais à deux doigts d’avoir pitié de lui et de le laisser se reposer pour la nuit. Il n’essaie même pas de fuir. Peut-être ai-je réussi à le briser ?

Une fois qu’il est revenu sur le tapis, je lui montre que je me remets en position de combat. Lui aussi. Je lui envoie la paume de ma main vers sa tempe pour le mettre à nouveau KO mais il esquive mon coup et m’assène un uppercut dans le menton puis un coup de genou dans le ventre. Heureusement pour moi, son corps est encore trop faible pour prolonger cet enchaînement de coups.

🟠  – Tu vas le regretter !

Ce petit con, il a osé me frapper. Je feins de vouloir le baffer à nouveau. Il esquive ma feinte et tombe dans mon piège. J’écrase son pied avec mon talon et je lui envoie mon coude au centre de la poitrine pour lui couper le souffle tout en le déséquilibrant. D’une pierre, deux coups.

Il tombe au sol et je me précipite sur lui. Sa vision doit se résumer à une puissante femme rousse enragée, à la fois musclée et bien en chair, les deux gros seins à l’air bougeant librement, courant vers lui. Le petit chanceux !

Il est maintenant au sol et je me mets sur lui en position dominante, lui assénant une baffe dans chaque tempe pour le sonner, puis je descends de sur lui et je me positionne sur le côté, je place son bras droit sous mon corps pour l’immobiliser et je place son corps entre mes cuisses. Mes deux jambes musclées entourent maintenant son corps au niveau de l’abdomen.

Ses yeux s’ouvrent grand d’effroi quand il comprend que j’ai gagné. Je commence à resserrer mes cuisses autour de son corps. Il essaye de se dégager, mais son bras droit est neutralisé sous mes côtes. Le maximum qu’il puisse faire, c’est de me griffer dans le dos !

Mes deux mains sont libres, une pour maîtriser son bras gauche et l’autre pour l’étrangler.